La solidarité et l'entraide forment notre destin commun
2020-01-02
Le monde entier doit travailler de concert pour affronter notre ennemi commun.
Au fur et à mesure que le nombre de patients infectés par le COVID-19 augmente, la lutte contre cette pandémie est passée à un stade critique. Les chutes historiques des bourses mondiales révèlent les peurs irrationnelles des gens qui associent l'inquiétude actuelle aux difficultés des entreprises qui conduirait à un déclin économique.
Depuis le déclenchement de l'épidémie du COVID-19, le gouvernement chinois a pris les mesures de prévention et de contrôle les plus radicales et les plus strictes, pleinement conscient de ses responsabilités envers le peuple chinois et la communauté internationale. Grâce aux traitements médicaux énergiques et au système de quadrillage et de repérage pour renforcer la prévention et le contrôle de l'épidémie au niveau des quartiers, le gouvernement chinois a rapidement freiné la propagation de l'épidémie. Cependant, l'épidémie ne fait pas de distinction de race, d'ethnie ou de pays; le monde entier doit donc travailler de concert pour affronter notre ennemi commun.
Selon Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), la Chine a pris des mesures pour endiguer la propagation de l'épidémie à la source; ce qui a évidemment fait gagner du temps au reste du monde. En réalité, afin d'empêcher la contagion à l'échelle mondiale, la Chine a tout de suite partagé avec la communauté scientifique internationale la séquence génétique complète du nouveau coronavirus et la séquence d'amorce et de sonde de la détection d'acide nucléique. « Grâce au partage rapide de la séquence génétique de ce virus par la Chine, les outils de réaction en chaîne par polymérase pour le test du virus, basés sur sa séquence génétique, ont pu être développés rapidement.Cela a permis aux autres pays de mieux se préparer »,a affirmé Soumya Swaminathan, scientifique en chef de l'OMS.
Dans sa lutte contre l'épidémie du COVID-19, la Chine a partagé des dossiers techniques sur la prévention et le contrôle de l'épidémie et les protocoles de diagnostic et de soins avec plus de 100 pays et plus de 10 organisations internationales et régionales, telles que l'OMS, l'ASEAN, l'UE,l'APEC, l'UA, la Communauté des Caraïbes et l'Organisation de coopération de Shanghai. En outre, elle a engagé une vingtaine d'échanges techniques, à travers les conférences à distance,avec le Japon, la République de Corée, la Russie, l'Allemagne, la France, les États-Unis et le Laos.
Vu la gravité de la situation épidémique, l'Italie a fermé ses frontières. C'est le premier pays dans l'histoire à appliquer cette mesure en raison d'une épidémie. Le 11 mars 2020, une équipe médicale chinoise de neuf experts est arrivée en Italie pour l'aider à lutter contre le COVID-19. Face à cette solidarité, l'ambassadeur italien à l'UE Maurizio Massari a ainsi écrit dans un journal : « Aucun pays de l'UE n'a répondu à notre appel. Seule la Chine nous a accordé de l'assistance. » De plus, des équipes d'experts volontaires de la Croix-Rouge chinoise sont allées en Iran et en Iraq, gravement frappés par l'épidémie. La Chine a également fournit des kits de test d'acide nucléique au Pakistan, au Japon, à l'Iran, à l'UA, et l'assistance nécessaire à la République de Corée, à l'Iraq, au Cambodge, au Myanmar, au Sri Lanka et à des pays africains.
Parallèlement, la Chine s'engage dans la coopération internationale concernant la recherche et le développement du vaccin et du médicament contre le virus pour enrayer l'épidémie.
Par ailleurs, en tant qu'«usine du monde» et « marché mondial », la Chine a mis en œuvre beaucoup de mesures pour promouvoir de manière ordonnée la reprise de la production et du travail. Cela apaisera la pression sur l'économie mondiale, réactivera la chaîne industrielle mondiale et défendra les intérêts communs mondiaux.
Face à l'épidémie, tous les pays partagent le même sort. Il leur faut s'unir et s'entraider pour sortir ensemble de cette période difficile.